7 cartes et graphiques qui expliquent l’incroyable montée du rosé en Amérique

Au printemps dernier la phrase « Yes Way Rosé » (#yeswayrosé) semble avoir explosé de nulle part. A la fin de l’été, les La poste de New York La page six était hyperventilation sur une pénurie imminente de rosé dans les Hamptons. Une demande insatiable de rosé avait-elle soudainement explosé de nulle part, entraînant une ruée sur la banque d’alcool rose ? Oui et non. Ce qui s’est réellement passé au cours de la dernière décennie a été un changement rapide, toujours accéléré et quelque peu contradictoire dans les préférences américaines en matière de vin.

Pas plus tard que dans les années 1990, pour la plupart des Américains, le «blush wine» alias rosé alias «White Zin» était quelque chose que votre grand-mère buvait, peut-être dans une grande cruche. Il y a une dizaine d’années, les goûts ont commencé à changer, entraînant une baisse des ventes de vins rosés doux bon marché et une augmentation des ventes de vins rosés secs haut de gamme (12 $ et plus). Les palais américains s’étaient-ils soudainement détournés des concoctions sucrées malsaines, du moins en ce qui concerne le vin ? Pour le rosé, la réponse semblerait être oui. Pourtant, dans le même temps, les mélanges rouges contenant de fortes doses de sucre résiduel – pensez aux vins californiens nommés d’après les desserts – ont également connu une demande croissante, beaucoup citant Le prisonnier comme l’étincelle de cet engouement (la douceur de ce vin en 2001 par rapport à aujourd’hui est une question délicate). Cette période a également vu l’ascension incessante du Moscato, un autre vin qui emballe dans le sucre. Données récentes en provenance de Californie suggère que le seul segment du marché américain du vin qui pourrait croître plus rapidement que le «rosé sec premium» est le vague «mélange rouge (doux)».

En l’absence de plus de données, il est assez difficile de concilier ces tendances contradictoires, mais si nous devions faire un pari, nous dirions que la démocratisation continue du vin et son adoption par de plus en plus d’Américains fait de la place pour de plus en plus de vins des deux côtés. du spectre des sucres. Et c’est la meilleure nouvelle de toutes, car comme nous le disons toujours chez VinePair, buvez ce que vous aimez.

Les pays qui boivent le plus de rosé

Si la population joue un grand rôle, certains pays, dont l’Amérique, ont une soif inextinguible de rosé. Cette carte est basée sur Euromonitor données 2013 de consommation de rosé (sec et doux).

L’Amérique est le 3e producteur mondial de rosé

La production de rosé aux États-Unis est en fait en déclin, car la majorité du rosé que nous produisons est du vin doux blush (par exemple, White Zinfandel), qui est en train de tomber en disgrâce, en particulier parmi la génération Y.

Production mondiale de vin rosé en 2012

Les importations de rosé sont en plein essor

Alors que les goûts américains évoluent vers des vins rosés plus secs, nous nous tournons vers le reste du monde pour satisfaire notre soif.

Ventes de rosé importé aux États-Unis

Les exportations de rosé de Provence explosent

Beaucoup considèrent la Provence comme la référence du rosé sec, ce qui se traduit par le bond fulgurant des exportations de la région sud de la France vers les États-Unis.

Les exportations de rosé de Provence explosent

Le volume de recherche de rosé sur Google augmente depuis une décennie

Bien que l’on associe le rosé aux mois d’été, tendances Google révèle que décembre est généralement le mois où les recherches de rosé atteignent leur maximum. Juillet 2014 a brisé cette tendance, établissant la référence actuelle pour le volume de recherche de rosé.

Le volume de recherche de rosé monte en flèche

Les recherches de rosé sont particulièrement fortes dans les États côtiers

Si l’on se penche sur les cinq dernières années de recherche de rosé sur Google, on constate de fortes tendances régionales. Comme pour tout ce qui est lié à la consommation d’alcool, Washington, DC fait bonne figure.

État par État Intérêt de recherche relatif pour le rosé

La ville de New York domine la consommation de rosé importé

Alors que Miami – avec son climat saisonnier toute l’année – occupe une solide deuxième place dans la consommation de rosé, la région métropolitaine de New York boit 1/5 de toutes les importations de rosé américain.

Faits sur la consommation de rosé en Amérique

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